Un mariage à temps partiel

Un mariage à temps partiel

Annika Regal

61,664 Mots

5.0

Description

Travailler pour une famille peut vraiment craindre. Surtout lorsque vous êtes moins bien traitée parce que vous êtes une femme, que vous avez un grand-père qui détient tout le pouvoir et qu'au fond de vous, vous voulez toujours son approbation et sa reconnaissance pour tous les succès que vous avez apportés à l'entreprise. Oui, les entreprises familiales peuvent être difficiles. Melissa Greyson est confrontée à ce type de situation depuis toujours. Son grand-père tient les cordons de la bourse des fonds fiduciaires et menace de couper les vivres à ses frères et sœurs et à elle-même si elle ne se plie pas à sa volonté. Melissa ne se soucie pas d'être exclue... elle travaille et s'épanouit dans l'entreprise. Ses sœurs, en revanche, n'ont aucun moyen de subsistance et le grand-père le sait. C'est dans cet esprit que l'homme expose sa dernière demande... Il veut que Melissa soit mariée et ait des bébés maintenant... non, elle a repoussé son départ assez longtemps... c'est maintenant ou il la renverra et coupera les ponts avec les sœurs pour de bon cette fois. D'une manière ou d'une autre, malgré ses talents qui lui permettraient d'aller chez le concurrent très, très facilement pour un poste, Melissa aime cette entreprise et ne veut pas la quitter. Elle prend le taureau par les cornes et décide de trouver une solution. Un prétendu prétendant est mentionné et lorsqu'on lui demande de qui il s'agit, elle ne le dit pas... Le marché est conclu et l'heure tourne. Alors que Melissa réfléchit à la situation impossible dans laquelle elle se trouve, elle s'assied et prend note de tout ce que son grand-père exige. Il n'a pas dit qui ce devait être... et Melissa a prétendu qu'elle avait déjà quelqu'un... Elle devait trouver la personne qu'elle pouvait convaincre de jouer le rôle de mari à temps partiel pendant une période déterminée, avec partage du logement, etc. Elle devait avoir quelque chose que cette personne voudrait pour la supporter... car elle n'était pas la femme la plus conviviale.